C'est une petite vite.
J'ai été en couple assez longtemps pour être béni et délivré de l'usage de la capote. La réalité du célibat a été difficile à intégrer. Penser à avoir des capotes sur soi, mettre la capote, rester bien bandé en c
herchant le petit sachet, en retirant le foutu tube, pincer le réservoir, dérouler le truc et s'éxécuter avec assez de professionnalisme et de nonchalance pour rester sexy et à l'écoute. On s'entend, c'est de la crisse de marde. Tragique même.
Au début de mon célibat, c'était horrible. Après quelques temps, j'anticipais assez ce mauvais moment que c'est devenu une source d'anxiété. Je me suis presque mis à préférer les jobs au-lieu de la baise. On va s'entendre la aussi, j'ai beau être un maître du cunilingus, ce n'est pas suffisant.
Après 6 mois, je constatais comme une «paresse» érectile et je désespérais de trouver une femme qui allait m'allumer assez pour dissiper mes doutes quant à mes «performances». J'ai une grosse libido, faut que la mécanique soit bonne pour assumer cette énergie là.
Après 8 mois, mes doutes avait raison de moi et je commençais à faire des recherches en cachette sur les troubles érectiles. En plus, il paraît que je vieillis alors...
Après 9 mois, je me suis mis à me questionner sur mon avenir professionnel. Je voulais trouver une job assez payante pour me garantir un flot constant et ininterrompu de Viagra. Who cares que je bande aux pillules, l'important c'est que je baise! me disais-je.
Le 10 ème mois fût très libérateur. J'ai eu une aventure. Je connaissais la fille suffisament, on a fait le tour de nos trips et elle était plus ou moins dans le même état que moi. On a baisé «Old School» comme des cochons irresponsables, sans arrêt et plusieurs jours, semaines, en ligne. Je revivais.
Cette renaissance jettait un nouveau jour sur mes troubles de fermeté. C'était pas moi, c'était les filles qui n'était pas assez cochonnes.
Erreur lamentable puisque peu après, la paresse revenait.
Mes aventures étaient aussi dull et sans retentissement que mes semis. J'intellectualisais tellement que mon hamster n'arrivait à trouver son pied que dans la porno.
Ne faites pas cette face là. Tout les gars consomment de la porn, sans exception.
Puis, un jour de canicule, dans une tente et sans capotes à portée de mains, mon envie pour une fille vibrait au rythme d'une marche militaire, j'étais fort comme un régiment et j'allais dominer l'ennemi et gagner la guerre! Tout arrachait.
Je n'avais pas amener l'odieux objet de rubber, alors un rub, c'est tout ce dont on a eu droit.
Agacés sans communes mesures, la fille et moi nous étions donnés rendez-vous chez moi. Au son du cors et au travers des cris, j'interrompais ma charge pour dégainer la mautadine de capote.
Ah, un moment exécrable où le désir littéral de la chair de la fille, l'envie de venir partout et l'angoisse de mettre tout ça sous une cloche de latex se mêlent dans une odeur de caoutchouc «tablette» et de lubrifiant industriel.
Quelle horreur! comme dans un rêve je voyais mes troupes battre en retraite alors que moi, le capitaine, incarnait le désir et l'envie! Si c'est ça vieillir, c'est dégueulasse!
La semaine suivante était un cauchemar. Je dormais mal, l'idée d'être sexy et de flirter provoquait une gêne qui m'était inconnue. Je me sentais menteur. J'étais aussi en manque de crisse de condoms.
Il n'y avait plus de Lifestyle Ultra, alors j'ai acheté des Trojans Slims.
Maudit soit ma naïveté de nouveau célibataire! Je crois bien que c'était de la faute aux capotes. Lifestyle était responsable de mes semis et de ma lente descente aux enfers des troubles érectiles. Mon premier essai des Trojans (oui, oui...Des) a été aussi fulgurant que mon premier orgasme. Côlisse, si j'avais su.
À mort Lifestyle, longue vie à Trojan!
Venez-vous en les femmes.
Au début de mon célibat, c'était horrible. Après quelques temps, j'anticipais assez ce mauvais moment que c'est devenu une source d'anxiété. Je me suis presque mis à préférer les jobs au-lieu de la baise. On va s'entendre la aussi, j'ai beau être un maître du cunilingus, ce n'est pas suffisant.
Après 6 mois, je constatais comme une «paresse» érectile et je désespérais de trouver une femme qui allait m'allumer assez pour dissiper mes doutes quant à mes «performances». J'ai une grosse libido, faut que la mécanique soit bonne pour assumer cette énergie là.
Après 8 mois, mes doutes avait raison de moi et je commençais à faire des recherches en cachette sur les troubles érectiles. En plus, il paraît que je vieillis alors...
Après 9 mois, je me suis mis à me questionner sur mon avenir professionnel. Je voulais trouver une job assez payante pour me garantir un flot constant et ininterrompu de Viagra. Who cares que je bande aux pillules, l'important c'est que je baise! me disais-je.
Le 10 ème mois fût très libérateur. J'ai eu une aventure. Je connaissais la fille suffisament, on a fait le tour de nos trips et elle était plus ou moins dans le même état que moi. On a baisé «Old School» comme des cochons irresponsables, sans arrêt et plusieurs jours, semaines, en ligne. Je revivais.
Cette renaissance jettait un nouveau jour sur mes troubles de fermeté. C'était pas moi, c'était les filles qui n'était pas assez cochonnes.
Erreur lamentable puisque peu après, la paresse revenait.
Mes aventures étaient aussi dull et sans retentissement que mes semis. J'intellectualisais tellement que mon hamster n'arrivait à trouver son pied que dans la porno.
Ne faites pas cette face là. Tout les gars consomment de la porn, sans exception.
Puis, un jour de canicule, dans une tente et sans capotes à portée de mains, mon envie pour une fille vibrait au rythme d'une marche militaire, j'étais fort comme un régiment et j'allais dominer l'ennemi et gagner la guerre! Tout arrachait.
Je n'avais pas amener l'odieux objet de rubber, alors un rub, c'est tout ce dont on a eu droit.
Agacés sans communes mesures, la fille et moi nous étions donnés rendez-vous chez moi. Au son du cors et au travers des cris, j'interrompais ma charge pour dégainer la mautadine de capote.
Ah, un moment exécrable où le désir littéral de la chair de la fille, l'envie de venir partout et l'angoisse de mettre tout ça sous une cloche de latex se mêlent dans une odeur de caoutchouc «tablette» et de lubrifiant industriel.
Quelle horreur! comme dans un rêve je voyais mes troupes battre en retraite alors que moi, le capitaine, incarnait le désir et l'envie! Si c'est ça vieillir, c'est dégueulasse!
La semaine suivante était un cauchemar. Je dormais mal, l'idée d'être sexy et de flirter provoquait une gêne qui m'était inconnue. Je me sentais menteur. J'étais aussi en manque de crisse de condoms.
Il n'y avait plus de Lifestyle Ultra, alors j'ai acheté des Trojans Slims.
Maudit soit ma naïveté de nouveau célibataire! Je crois bien que c'était de la faute aux capotes. Lifestyle était responsable de mes semis et de ma lente descente aux enfers des troubles érectiles. Mon premier essai des Trojans (oui, oui...Des) a été aussi fulgurant que mon premier orgasme. Côlisse, si j'avais su.
À mort Lifestyle, longue vie à Trojan!
Venez-vous en les femmes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire