Vous êtes déjà revenu à la maison après un long périple? Une semaine à l'extérieur suffit pour éveiller en moi l'envie d'être à la maison, home, comme disent les anglais. Convoqué par d'autres avec plus de responsabilités que j'en voudrais, j'ai passé a semaine à me démener pour commander des groupes de gens disparate et pour les réunir sous les même envies. Que ce soit dans des compétitions sportives où les athlètes luttent et suent sous les ordres claironnants de leurs entraîneurs, au travers de nuages de boue, d'humeurs enfumées et bordé par les parfums de femmes ou celles des toilettes chimiques, je me suis battu sans relâche pour discipliner mes soldats et les faire danser sur le même pieds.
Je me suis levé fatigué samedi passé. La perspective de passer cette journée là en état de siège ne me plaisait guère et j'ai bien faillit feindre la folie pour échapper à mon devoir. N'eût été de mon double, jeune et naïf, qui, en songe, mourrait piétiner par des hordes de sportifs bronzés et torse nus, j'y serais parvenus et me serait moi-même affublé du nom de déserteur. Peut-on m'en vouloir? je savais que la journée allait être difficile, ainsi que les suivantes, ce qui signifiait que mon retour chez moi allait être une épreuve épouvantable. Mes troupes, ma responsabilité, se comptaient au nombre de 6500 Zoufs de l'ouest, dont quelques milliers de ses damnées Chicks de Zoufs. De véritables harpies, ces sirènes à bon marché me raillaient de coup d'oeil méprisants et chaque sourcils élevés étaient comme une écharde dans le doigt de ma virilité vacillante. Je déteste ses poules de mauvais augures. Chaque beaux petits culs, chaque paire de seins est une offre hurlante de pactiser avec les forces du mal! Elles étaient partout, c'était le Boxing Day de l'épais cette plage là. Tranquillement, mon esprit me quittait. J'avais envie de me mettre en bédaine! C'était horrible! Avant de sombrer dans la folie, j'eu la présence d'esprit de m'attacher à ma table de travail et à mes lecteurs cd. Le reste de la journée est pour moi perdu, oublié, comme si j'avais bu plusieurs shooter de Vodka du Lethe.
Après avoir amarré ma vieille réguine, j'entrepri la lente ascension vers le troisième étage ou m'attendais mon thrône. Comme un reste de sexe adultère, l'odeur du traquenard imprégnait chaque murs. Je ne connaissais pas mon ennemi, mais je sentais sa présence dans un mélange d'anticipation et de découverte. Rien ne manquait: le thrône était relevé, comme je l'avais laissé, le lit était défait, mon portable était en mode veille.
Mon portable n'est jamais en mode veille. C'est donc là qu'on avait commis le méfait.
À première vue, aucun indices ne laissaient présager de l'ampleur des dégâts. Je ne le savais pas à ce moment, mais quelqu'un avait violé on espace virtuel: Mon blogue, ma Pénélope à moi, celle qui m'avait attendue toute la semaine. On m'avait usurpé! L'imposteur avait pris possession de mon Principe et en avait profité pour l'alourdir de sang froid! Il avait même écrit une apologie en exergue pour justifier son existence! Ahhh! Comment ne pas rûgir alors que je suis victime d'un tout-nu? d'un pas-de-gosses, d'une lavette qui croit avoir à justifier ce qu'il a lui-même créé?
Qu'il crève l'impie!
Une enquête demande du temps et de la patience, mais je le retrouverai.
Je me suis levé fatigué samedi passé. La perspective de passer cette journée là en état de siège ne me plaisait guère et j'ai bien faillit feindre la folie pour échapper à mon devoir. N'eût été de mon double, jeune et naïf, qui, en songe, mourrait piétiner par des hordes de sportifs bronzés et torse nus, j'y serais parvenus et me serait moi-même affublé du nom de déserteur. Peut-on m'en vouloir? je savais que la journée allait être difficile, ainsi que les suivantes, ce qui signifiait que mon retour chez moi allait être une épreuve épouvantable. Mes troupes, ma responsabilité, se comptaient au nombre de 6500 Zoufs de l'ouest, dont quelques milliers de ses damnées Chicks de Zoufs. De véritables harpies, ces sirènes à bon marché me raillaient de coup d'oeil méprisants et chaque sourcils élevés étaient comme une écharde dans le doigt de ma virilité vacillante. Je déteste ses poules de mauvais augures. Chaque beaux petits culs, chaque paire de seins est une offre hurlante de pactiser avec les forces du mal! Elles étaient partout, c'était le Boxing Day de l'épais cette plage là. Tranquillement, mon esprit me quittait. J'avais envie de me mettre en bédaine! C'était horrible! Avant de sombrer dans la folie, j'eu la présence d'esprit de m'attacher à ma table de travail et à mes lecteurs cd. Le reste de la journée est pour moi perdu, oublié, comme si j'avais bu plusieurs shooter de Vodka du Lethe.
Après avoir amarré ma vieille réguine, j'entrepri la lente ascension vers le troisième étage ou m'attendais mon thrône. Comme un reste de sexe adultère, l'odeur du traquenard imprégnait chaque murs. Je ne connaissais pas mon ennemi, mais je sentais sa présence dans un mélange d'anticipation et de découverte. Rien ne manquait: le thrône était relevé, comme je l'avais laissé, le lit était défait, mon portable était en mode veille.
Mon portable n'est jamais en mode veille. C'est donc là qu'on avait commis le méfait.
À première vue, aucun indices ne laissaient présager de l'ampleur des dégâts. Je ne le savais pas à ce moment, mais quelqu'un avait violé on espace virtuel: Mon blogue, ma Pénélope à moi, celle qui m'avait attendue toute la semaine. On m'avait usurpé! L'imposteur avait pris possession de mon Principe et en avait profité pour l'alourdir de sang froid! Il avait même écrit une apologie en exergue pour justifier son existence! Ahhh! Comment ne pas rûgir alors que je suis victime d'un tout-nu? d'un pas-de-gosses, d'une lavette qui croit avoir à justifier ce qu'il a lui-même créé?
Qu'il crève l'impie!
Une enquête demande du temps et de la patience, mais je le retrouverai.
1 commentaire:
hahahaha três bien écrit...
Enregistrer un commentaire